Histoire des Sciences médicales

La revue Histoire des sciences médicales est l'organe officiel de la Société française d’histoire de la médecine (SFHM) depuis 1967. Pour consulter les archives de la SFHM avant 1967 : Cf. https://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/archives-de-la-sfhm/

Cette revue, trimestrielle jusqu’en 2018, est devenue annuelle à partir de 2019 (avec le Tome LIII, qui correspond en fait au premier tome des parutions annuelles). Les numéros suivants sont indiqué par Tome II pour 2020, Tome III pour 2021, etc.

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2001, Vol. 35 (3)	(PDF complet : 51 Mo)
[Sommaire] (PDF 364 Ko) Pour citer cet article [Sommaire] In : Histoire des Sciences médicales, 2001, 35 (3), pp. 227-228 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx2001x035x003/HSMx2001x035x003x0227.pdf	227-228
[Vie de la Société] . Compte rendu de la séance du 16 décembre 2000. / Compte rendu de la séance du 27 janvier 2001. / Compte rendu de la séance du 24 février 2001. / Compte rendu de l'assemblée générale du 24 février 2001. (PDF 6399 Ko) Pour citer cet article [Vie de la Société] . Compte rendu de la séance du 16 décembre 2000. / Compte rendu de la séance du 27 janvier 2001. / Compte rendu de la séance du 24 février 2001. / Compte rendu de l'assemblée générale du 24 février 2001. In : Histoire des Sciences médicales, 2001, 35 (3), pp. 229-244 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx2001x035x003/HSMx2001x035x003x0229.pdf	229-244
Valentin, Michel - Romieux, Yannick - Ségal, Alain. - Le Doyen Jean-Pierre Kernéis (1918-1999), premier président de l'Université de Nantes, ancien président et membre d'honneur de la Société française d'histoire de la médecine. [Dean Jean-Pierre Kerneis (1918-1999).] (PDF 4303 Ko) Pour citer cet article Valentin, Michel - Romieux, Yannick - Ségal, Alain. - Le Doyen Jean-Pierre Kernéis (1918-1999), premier président de l'Université de Nantes, ancien président et membre d'honneur de la Société française d'histoire de la médecine. [Dean Jean-Pierre Kerneis (1918-1999).] In : Histoire des Sciences médicales, 2001, 35 (3), pp. 245-252 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx2001x035x003/HSMx2001x035x003x0245.pdf	245-252
Fischer, L. P. - Martinet, B. - Glas, P. Y.. - Le premier centre anticancéreux de Lyon (1923). Le Chirurgien Léon Bérard et Auguste Lumière. [The first anti-cancer center in Lyon (1923): surgeon Leon Berard and Auguste Lumiere.] (PDF 5706 Ko) L'historique de la création des centres anticancéreux est actuellement peu connu. Le centre anticancéreux de Lyon a été inauguré officiellement en 1923 à l'Hôtel-Dieu. Les appareils de radiothérapie avaient été installés, sommairement séparés par des cloisons amovibles, sous le prestigieux grand dôme de l'architecte Soufflot. Le centre a été créé par le chirurgien Léon Bérard (1870-1955), avec l'aide financière généreuse d'Auguste Lumière, inventeur en 1895 du cinématographe avec son frère Louis, et inventeur du fameux Tulle gras pour les plaies. Deux salles d'hospitalisation commune (l'une pour les hommes, l'autre pour les femmes) et un bloc opératoire étaient voisins. Le chirurgien Bérard, élève de Poncet, opérait déjà avec prédilection les cas les plus graves: grandes infections osseuses, goitres suffocants, et, surtout le premier en France à pratiquer la cruelle thoracoplastie dans des tuberculoses pulmonaires. Le centre anticancéreux déménagea au Pavillon B du nouvel Hôpital Edouard Herriot en 1934. Auguste Lumière assistait toujours Léon Bérard dont il était même le plus souvent le chauffeur automobile. Auguste Lumière, non médecin, avait créé une importante clinique rue Villon où travaillaient des médecins. Cependant, par manque de place, Léon Bérard demanda à Auguste Lumière d'ouvrir une annexe à son centre anticancéreux dans la rue Mistral, qui devint l'Hôpital “Le Bon Abri”, financé entièrement par Auguste Lumière. En 1958, deux ans après la mort de Léon Bérard, est inauguré, en dehors des Hospices Civils de Lyon, le nouveau centre anticancéreux qui porte le nom de Léon Bérard “un des chirurgiens les plus remarquables de la première moitié du XXème siècle” comme aimait le répéter notre maître Jean Creyssel, élève de Bérard. At present, little is known about the creation of cancer hospitals. I will report on that of Lyons, France, with the famous surgeon, Léon Bérard (1870-1956). A specialist of neck surgery, he was the first to carry out major thoracoplasties. The cancer hospital was inaugurated in 1923 under the Great Dome of the Hôtel-Dieu hospital. (The dome is the creation of the famous architect Germain Soufflot (1748)). In 1933, the cancer hospital moved in the newly-built Edouard Herriot Hospital; it became independant in 1958, two years after the famous surgeon's death, and it was rightly named after him: “Centre anticancéreux Léon Bérard”. Its creation and its quick development owes a lot to generosity of Auguste Lumière, one of the two inventors of cinematograph. Auguste Lumière sponsored radiotherapy material and, at Léon Bérard's request (as there was a lack of space in Edouard Herriot hospital), created a centre for cancer patients (Bon Abri Hospital, rue Mistral, with Dr Vigne). A Lumière gave his time as well as his money for the centre; he was the car-driver, he helped L. Bérard with his university classes, and he often comforted the patients while running a private clinic (La Clinique Lumière), which combined dispensary services with research. (Micheline Bonin). Pour citer cet article Fischer, L. P. - Martinet, B. - Glas, P. Y.. - Le premier centre anticancéreux de Lyon (1923). Le Chirurgien Léon Bérard et Auguste Lumière. [The first anti-cancer center in Lyon (1923): surgeon Leon Berard and Auguste Lumiere.] In : Histoire des Sciences médicales, 2001, 35 (3), pp. 253-262 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx2001x035x003/HSMx2001x035x003x0253.pdf	253-262 Résumé
Peumery, Jean-Jacques. - Vicq d'Azyr et la Révolution française. [Vicq d'Azyr and the French Revolution.] (PDF 4297 Ko) Né le 23 avril 1748, à Valognes, en Normandie, Félix Vicq d'Azyr fut à la fois un grand médecin, un naturaliste talentueux et un éminent homme de lettres. Membre de l'Académie des sciences en 1774. il fonda, en 1776, la Société royale de médecine, future Académie, dont il fut le secrétaire perpétuel. Il fut le promoteur de l'Anatomie comparée. Successeur de Buffon à l'Académie française en 1788, il devint le Premier médecin de la reine Marie-Antoinette en 1789. Dès lors, ses “penchants aristocratiques” attirèrent sur lui l'attention du Tribunal révolutionnaire. Déjà malade, les exécutions sommaires de ses amis le terrorisaient. Il échappa à la guillotine, mais la tuberculose le tua, le 20 juin 1794. Il a laissé une oeuvre immense, particulièrement en anatomie et en physiologie, et ses “Eloges historiques”. Born in April 23th, 1748, at Valognes, in Normandy, Félix Vicq d'Azyr was at once a great doctor, a talented naturalist and a distinguished man of letters. Member of the “Académie des sciences” in 1774, he founded, in 1776, the “Société royale de médecine” in Paris, future “Académie”, whose he was the permanent secretary. He is the originator of the comparative anatomy. The successor to Buffon at the “Académie française” in 1788, he became Principal Doctor to the Queen Marie-Antoinette in 1789. From that time, his aristocratic tendencies drew revolutionary court's attention to him. Already sick, summary executions of his friends terrified him. He escaped Guillotine, but tuberculosis killed him, on June the 20th, 1794. He left a great work, especially in anatomy and physiology, and a lot of historical eulogies. Pour citer cet article Peumery, Jean-Jacques. - Vicq d'Azyr et la Révolution française. [Vicq d'Azyr and the French Revolution.] In : Histoire des Sciences médicales, 2001, 35 (3), pp. 263-270 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx2001x035x003/HSMx2001x035x003x0263.pdf	263-270 Résumé
Goursolas, François. - Histoire d'un groupe de brancardiers divisionnaires en 1914-1918. [A section of divisional stretcher-bearers in 1914-1918 history.] (PDF 5170 Ko) L'étude du “Journal des marches et opérations” écrit par le Médecin-chef des brancardiers de la 34ème Division d'Infanterie française conservé dans les Archives historiques du Château de Vincennes et des documents personnels laissés par lui permettent de répondre à cette question: l'organisation du Service de Santé des Armées a-t-elle nui à l'évacuation rapide des blessés vers les hôpitaux de l'arrière? Le terrible environnement et le matériel parfois précaire ou insuffisant rendaient les missions difficiles, mais ce travail montre que d'année en année l'exécution s'est accélérée augmentant les chances de survie des blessés. The study of the diary written by the Chief Medical Officer of the French Infantry 34th Division's stretcher-bearers kept in the Château de Vincennes historical records as well as the personal documentation he bequeathed enable us to answer to the question: Did the planning of the Military Medical Service induced impediment to wounded men's fast evacuation to rear hospitals? The horrifying overcrowding and, time to time, precarious or inadequate materials led to a flop. But, the study shows that, from year to year, the performance accelerated, then increasing most chances to survive for wounded. Pour citer cet article Goursolas, François. - Histoire d'un groupe de brancardiers divisionnaires en 1914-1918. [A section of divisional stretcher-bearers in 1914-1918 history.] In : Histoire des Sciences médicales, 2001, 35 (3), pp. 271-280 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx2001x035x003/HSMx2001x035x003x0271.pdf	271-280 Résumé
Dumaître, Paule. - Ambroise Paré, son destin posthume, ses historiens. [Ambroise Paré, his death and his historians.] (PDF 9736 Ko) Ambroise Paré décédé le 20 décembre 1590, quel fut donc son destin posthume et que savait-on de sa vie? Jamais oublié, mais quelque peu négligé, il fallut attendre le XIXe siècle pour que les historiens reconstituent une vie que l'on ne connaissait que par ses Voyages. Après le chirurgien Percy qui avait tenté un réel effort biographique dans la Biographie universelle ancienne et moderne de Michaud (1822), après des écrivains mineurs, Malgaigne fut le premier qui, dans son édition des Oeuvres complètes de Paré (1840-41), écrivit une biographie digne de ce nom mais incomplète et comportant encore des erreurs. Le médecin Chéreau, l'historien Jal en dépouillant les registres d'état-civil y apportèrent beaucoup d'éléments nouveaux, augmentés par les docteurs Le Paulmier, Turner et l'Américaine Janet Doe. Ambroise Paré died December the 20th., 1590. What happened after his death and what are we knowing about his life? Never forgotten, though a lack of care, we were waiting till the XIXth. century to get recollection upon a subject sustained only by accounts of his travels. After Percy, a surgeon who tried to write Paré's biography through the “Biographie universelle ancienne et moderne, de Michaud (1822)” and some second rank authors, Malgaigne is the first who inside a printing of the “Oeuvres complètes de Paré (1840-41)” has a fine look upon the question, though his work is incomplete and allows many mistakes. Doctors Chéreau and Jal, an historian, analysing civil status records, gave new information enlarged by doctors Le Paulmier, Turner and the U.S. native Janet Doe. Pour citer cet article Dumaître, Paule. - Ambroise Paré, son destin posthume, ses historiens. [Ambroise Paré, his death and his historians.] In : Histoire des Sciences médicales, 2001, 35 (3), pp. 281-298 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx2001x035x003/HSMx2001x035x003x0281.pdf	281-298 Résumé
Hoerni, Bernard - Bouscharain, J. P.. - Arrêt Teyssier de la Cour de Cassation, 28 janvier 1942: quelques remarques sur une décision "oubliée". [Teyssier before the Supreme Court in January 28, 1942.] (PDF 2846 Ko) Confirmant un arrêt de la Cour d'appel de Bordeaux de 1937, l'arrêt Teyssier de la Cour de Cassation affirmait, dès 1942, le devoir pour le médecin d'informer le malade pour obtenir son consentement. Une telle pratique était jugée nécessaire pour le respect de la personne humaine et des droits du malade. Confirming the judgement of the Appeals Court of Bordeaux in 1937, the judgement of the Supreme Court in the Case of Teyssier confirmed the duty of the doctor to inform the patient in order to obtain his informed consent. Such information was considered as necessary to respect the person and the rights of the patient. Pour citer cet article Hoerni, Bernard - Bouscharain, J. P.. - Arrêt Teyssier de la Cour de Cassation, 28 janvier 1942: quelques remarques sur une décision "oubliée". [Teyssier before the Supreme Court in January 28, 1942.] In : Histoire des Sciences médicales, 2001, 35 (3), pp. 299-304 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx2001x035x003/HSMx2001x035x003x0299.pdf	299-304 Résumé
Doury, Paul. - Lyautey et la médecine. [Lyautey and medicine.] (PDF 5367 Ko) La Médecine a toujours joué un rôle très important dans la vie de Lyautey. Il y eut recours pour lui-même: déjà dans sa plus tendre enfance lorsqu'il fut atteint de ce qu'il appela lui-même sa “grande maladie”, qui bouleversa son enfance jusqu'à l'âge de 12 ans; et durant toute son existence, il fut atteint de maladies parfois sévères, dans les territoires où il eut à servir, et notamment en Afrique du Nord. Peut-être est-ce là la raison pour laquelle il porta un intérêt tout spécial à la médecine et aux médecins, pour son oeuvre de conquête et de pacification, en particulier au Maroc, qui devint, grâce à lui un pays pacifié et moderne. Medicine played a main role during Lyautey own life. He had recourse to it at many times when he was a young boy and suffering of a lot of bad illness all along his life, chiefly in Africa. Maybe it's the reason which allows the strong interest of Lyautey for medicine and doctors? Then, medicine is also, according to Lyautey's mind, the most means for conquest and pacification. He proceeded on that way, especially in Marocco which became, owing to him, a modern and peaceful kingdom. Pour citer cet article Doury, Paul. - Lyautey et la médecine. [Lyautey and medicine.] In : Histoire des Sciences médicales, 2001, 35 (3), pp. 305-316 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx2001x035x003/HSMx2001x035x003x0305.pdf	305-316 Résumé
Le Minor, Jean-Marie. - Augustin Belloste (1654-1730), aspects de la chirurgie militaire hospitalière pendant la guerre de Piémont-Savoie (1686-96). [Augustin Belloste (1654-1730), aspects of the surgery in military hospitals during the Piemont-Savoie War (1686-96).] (PDF 6338 Ko) L'exercice de la chirurgie militaire hospitalière au XVIIe siècle reste assez mal connu. Un témoignage original est fourni par A. Belloste (1654-1730) qui s'engage comme chirurgien des armées en 1686. En 1690, s'ouvre la guerre de Piémont-Savoie pendant laquelle il est en poste dans les hôpitaux militaires de Briançon, Pignerol, et Oulx. En 1696, la guerre terminée, A. Belloste publie un ouvrage, Le chirurgien d'hôpital, rédigé d'après l'expérience qu'il a pu acquérir et les observations qu'il a pu consigner pendant ses dix années d'exercice, et particulièrement à l'hôpital militaire de Briançon. Des renseignements intéressants sont donnés concernant le recrutement des hôpitaux militaires et l'origine des patients traités. Le transfert vers un hôpital militaire semble avoir souvent été considéré comme l'ultime recours, avec parfois de longs mois d'attente des blessés dans des conditions épouvantables. Les pathologies observées et traitées sont pour la plupart des traumatismes de guerre par épée ou arme à feu, mais arrivent aussi des victimes de traumatismes survenus lors de grands travaux comme ceux des fortifications entrepris par Vauban, ou encore de pathologies liées aux spécificités de l'environnement alpin: chutes, altitude, froid... Les conditions d'hébergement en hôpital sont bien sommaires, et ne sont souvent pas favorables à la bonne évolution des lésions. A. Belloste a particulièrement développé et défendu l'intérêt d'un traitement doux, mesuré, et rationnel des plaies. The surgical practice in military hospitals during the XVIIth century remains poorly known. An original statement is provided by A. Belloste (1654-1730) who enlisted as military surgeon in 1686. In 1690 began the Piemont-Savoie War during which he was in position in the military hospitals of Briançon, Pignerol, and Oulx. In 1696, after the end of the war, A. Belloste published a treatise, the hospital surgeon, written according to the experience he gained and the observations he consigned during his ten years of practice, particularly in the military hospital of Briançon. Interesting information is given concerning the military hospitals recruitment and the patients origins. The transfer to a military hospital seemed to be considered as the last resort, with sometimes wounded persons waiting during long months in dreadful conditions. The pathologies observed and treated consisted principally in war traumatisms by sword or firearms, but also came victims of traumatisms happened during great defensive works as those of Vauban, or presenting pathologies related to the specificites of the alpine environment as falls, altitude or cold... The lodging conditions in hospital were summary, and were often unfavourable to a good evolution of the injuries. A. Belloste particularly developed and defended the interest of a soft, measured, and rational treatment of the wounds. Pour citer cet article Le Minor, Jean-Marie. - Augustin Belloste (1654-1730), aspects de la chirurgie militaire hospitalière pendant la guerre de Piémont-Savoie (1686-96). [Augustin Belloste (1654-1730), aspects of the surgery in military hospitals during the Piemont-Savoie War (1686-96).] In : Histoire des Sciences médicales, 2001, 35 (3), pp. 317-328 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx2001x035x003/HSMx2001x035x003x0317.pdf	317-328 Résumé
Sicard, André. - Mission à Berlin en 1946. Témoignage. [Mission to Berlin 1946.] (PDF 1523 Ko) Une mission militaire interalliée s'est rendue à la prison de Spandau, près de Berlin, pour fixer l'état physique des hauts dignitaires nazis accusés de crimes contre l'humanité avant d'être jugés par le tribunal de Nuremberg. An interallied military delegation went to Spandau, a Berlin suburb, in order to realize the health state of some main Nazis accused of crimes against mankind and waiting to appear before the Nürnberg Court of Justice. Pour citer cet article Sicard, André. - Mission à Berlin en 1946. Témoignage. [Mission to Berlin 1946.] In : Histoire des Sciences médicales, 2001, 35 (3), pp. 329-333 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx2001x035x003/HSMx2001x035x003x0329.pdf	329-333 Résumé
Règles générales de publication. (PDF 1057 Ko) Pour citer cet article Règles générales de publication. In : Histoire des Sciences médicales, 2001, 35 (3), pp. 334-336 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx2001x035x003/HSMx2001x035x003x0334.pdf	334-336

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2001, Vol. 35 (3)