« et on n’avait plus recours à lui comme avant, à cause d’un affaiblissement sénile, affligeant et dur à supporter pour les siens, mais aussi odieux pour les autres. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 8 juin 1657, note 12.