À Johann Georg Volckamer, le 24 mai 1658
Note [8]
Diatribe de Juvénal contre les Grecs de Rome (Satire iii, vers 109‑113) :
Præterea sanctum nihil aut ab inguine tutum,
non matrona laris, non filia uirgo, nec ipse
sponsus leuis adhuc, non filius ante pudicus ;
horum si nihil est, auiam resupinat amici.
Scire uolunt secreta domus atque inde timeri. {a}« Par-dessus le marché, il n’y a pour eux rien de sacré, rien qui soit à l’abri de leur bas-ventre : ni la mère de famille, ni sa fille encore vierge, ni le fiancé encore imberbe, ni le fils encore intact. À défaut, ils culbutent la grand-mère de leur ami. Ils veulent savoir les secrets de la maisonnée et s’en faire ainsi redouter. » {a}
- Mise en exergue du vers 113 cité par Guy Patin contre les jésuites.