Médecin et professeur de botanique à Bâle, Burcardus (Johann Rudolph Burkard, Burkhardt ou Burcard, 1637-1687) [1] a édité plusieurs recueils de thèses et de discours académiques. De sa propre plume, je n’ai trouvé qu’une :
Exercitatio medica de Dysenteria, quam S.S. Triade favente, scitu gratiosi Medicorum Ordinis in incluta Universitate patria, Publico artis Medicæ cultorum examini submittit Joh. Rodolphus Burcardus, Med. Doct. Respondebit Fortunatus a Juvaltis, Zuzio-Rhætus. In Auditor. Medic. hor. mat. consuet. ad diem xxx Aug. An. m dc lx.Notre édition contient une lettre latine que Guy Patin lui a écrite le 20 juillet 1665. Il avait parlé pour la première fois de Burcardus, en le disant prêt à repartir de Paris pour Bâle, dans sa lettre à Hieronymus Bauhin datée du 27 février 1661.[Thèse médicale sur la Dysenterie qu’avec l’aide de la très Sainte Trinité et par le bienveillant suffrage de médecins de la Compagnie qui compose la célèbre Université de la patrie, Johann Rodolph Burcardus, docteur en médecine, a soumise à l’examen public de ceux qui cultivent l’art de la médecine. Fortunat von Juvalta, natif de Zuoz en Rhétie. En l’auditorium des médecins, à l’heure ordinaire du matin, le 30e d’août 1660]. [1]