À Claude II Belin, le 2 août 1640

Note [7]

L’armée espagnole, n’osant attaquer l’armée française qui assiégeait Arras, s’était portée sur ses communications afin d’intercepter ses convois. Le roi et Richelieu, établis à Amiens, faisaient parvenir aux assiégeants les vivres et les munitions qui leur étaient nécessaires, et qu’accompagnait une forte escorte de gardes et de gentilshommes. Au devant de ces convois, le maréchal de La Meilleraye envoyait lui-même de gros détachements de troupes (Triaire).


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 2 août 1640, note 7.

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(Consulté le 05/05/2024)

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