À Claude II Belin, le 13 avril 1641
Note [12]
« qui furent cependant retirés à contrecœur. » « C’était une des cérémonies en faisant les chevaliers, de leur chausser les éperons. Quand on rend la foi et hommage, il faut quitter ses éperons » (Furetière) ; v. note [19], lettre 54, pour le mauvais accord entre le duc de Lorraine et Louis xiii.