À André Falconet, le 16 août 1647
Note [4]
Partial : « La faiblesse de l’esprit de l’homme est telle qu’il se préoccupe aisément, qu’il a du mal à effacer les impressions dont il est préoccupé, qui entrent les premières dans son esprit. Un juge, un philosophe ne se doivent point laisser préoccupe. C’est le propre du peuple de se laisser préoccuper, de ne trouver bon que ce qu’il a accoutumé de voir, de pratiquer » (Furetière).