À Charles Spon, le 10 mars 1648

Note [25]

L’éditeur de 1718 a lu « ses fièvres quartes, s’il y en eut jamais un bon », ce qui rend la phrase incompréhensible. Reveillé-Parise a écrit assez rationnellement : « Quant à ses auteurs, je doute s’il y en eut… ». Comme il était impossible de laisser subsister une erreur de lecture aussi manifeste que celle de 1718, nous avons adopté la version de l’éditeur de 1846 (Triaire).


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 10 mars 1648, note 25.

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(Consulté le 05/05/2024)

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