« On fait souvent accroire à des gens qu’ils ont mangé le lard quand on les accuse de quelque faute dont ils sont innocents » (Furetière).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 8 mai 1648, note 49.