À André Falconet, le 27 août 1648
Note [9]
Les « maladies de la matière » étaient le nom que Jean Fernel a donné (v. note [18], lettre latine 78) à la putréfaction des poumons ou phtisie (v. note [6], lettre 463), ou plus généralement au desséchement et à la rétraction des tissus vivants (atrophie).