« du bras sain, à cause de l’intempérie des viscères et de l’écoulement hémorroïdal, etc. ; s’il fait cela, il ne le regrettera sans doute pas. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Nicolas Belin, le 27 mars 1649, note 11.