On appelait fondants « des remèdes qui servent à fondre les humeurs et à les rendre fluides » (Académie).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 16 avril 1649, note 6.