À Nicolas Belin, le 5 juin 1649
Note [8]
« dans une décoction de pourpier ».
Le pourpier est une « herbe qu’on mange en salade et dans le potage » (Furetière). « Le pourpier domestique rafraîchit, étant humide au second degré et froid au troisième. Il incrasse [épaissit le sang], répercute, restreint et condense. Il est céphalique et néphrétique, et fait mourir les vers. Selon quelques-uns le pourpier sauvage échauffe » (Thomas Corneille).