À Charles Spon, le 7 juin 1649
Note [21]
V. notes : [49], lettre 176, pour l’Ophtalmographia de Vopiscus Fortunatus Plempius (Louvain, 1648) ; et [4], lettre 98, et [6], lettre 143, pour les deux thèses de Guy Patin, Estne totus homo a natura morbus ? [Par nature, l’homme n’est-il pas tout entier maladie ?] (1643) et Estne longæ ac iucundæ vitæ tuta certaque parens sobrietas ? [Une sobriété prudente et déterminée n’est-elle pas la mère d’une longue et agréable vie ?] (1647).
La remarque de Patin permet de dater le début de sa correspondance avec Plempius, mais il n’en subsiste aucune lettre antérieure à 1656.