À Charles Spon, le 24 décembre 1649
Note [10]
Ce passage a été repris dans une lettre factice des éditions précédentes, datée du 15 septembre 1650 (à Spon dans Bulderen, no xliv, tome i, 126‑127 ; à Falconet dans Reveillé-Parise, no ccclxxxiv, tome ii, pages 558‑559). Il s’y ajoute ce commentaire sur Voiture :
« Il avait l’esprit galant mais quoiqu’on le joigne souvent à M. de Balzac pour en faire comparaison, {a} je ne fais point de doute que ce dernier ne le doive emporter de beaucoup, tant pour son érudition universelle que pour la force de son élocution. » {b}
- V. notes [5], lettre 323 et [3], lettre 542, pour l’âpre querelle littéraire entre Balzac et ses partisans, et les défenseurs de Voiture (après sa mort en 1648).
- L’Esprit de Guy Patin a repris et étendu cet appendice (v. note [19] du Faux Patiniana II‑2).