À Charles Spon, le 8 janvier 1650
Note [61]
L’alliance des parlements de Bordeaux et de Toulouse (v. note [23], lettre 210) n’était que prétendue ; Dubuisson-Aubenay, Journal des guerres civiles, tome i, page 197, janvier 1650 :
« Mercredi 5, […] les frondeurs défaits firent courre un bruit par le peuple que la ville de Toulouse avait pris les armes, et le parlement donné arrêt que secours serait envoyé à ceux de Bordeaux. »
La paix de Bordeaux n’allait pas tarder à rompre ce projet d’alliance.