À Charles Spon, le 4 février 1650
Note [32]
V. note [12], lettre 210, pour le désaccord thérapeutique entre Guy Patin et Pierre Garnier. Le total des saignées pratiquées ici chez Pierre de Janson, le beau-père de Patin, avoisinait les deux litres (72 onces, environ 2,3 kg).
Ce passage se trouve, fort mutilé, dans les transcriptions télescopées de Bulderen (tome i, xxxii) et Reveillé-Parise (tome i, ccxxi) : v. note [a], lettre 213.