À André Falconet, le 4 février 1650

Note [2]

« Oh ! que d’embrassades et que de réjoussances ce seront alors ! » (Horace, Satires, livre i, poème v, vers 43). Le vers 44 complète la pensée de Guy Patin :

Nil ego contulerim iucundo sanus amico.

[Tant que j’aurai ma raison, je ne préférerai rien à un agréable ami].


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 4 février 1650, note 2.

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(Consulté le 08/05/2024)

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