« car qu’ai-je donc fait ou dit ? Et pourtant je n’ai péché ni par pensée, ni par parole, ni par action » (la fin est empruntée au Confiteor).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 3 mai 1650, note 5.