À Charles Spon, le 1er juillet 1650
Note [7]
Le remuant marquis de Jarzé (v. notes [3] et [4], lettre 190, et [16], lettre 209) avait été arrêté le 26 juin. Les lettres qu’il portait étaient destinées au maréchal de Turenne. On ne lui trancha pas la tête pour autant.