À Charles Spon, le 16 août 1650
Note [25]
Premiers vers de l’Élégie pour Ovide (et contre la tyrannie du prince, Auguste), longue de neuf pages, signée de Lingendes, {a} qu’on trouve notamment au début des :
Métamorphoses d’Ovide, traduites en prose française, et de nouveau soigneusement revues et corrigées, avec xv. Discours, contenant l’explication morale des Fables : Ensemble quelques Épîtres, traduites d’Ovide, et divers autres Traités, dont cette impression a été augmentée, le tout par N. Renouard. {b}
- Jean de Lingendes (Moulins 1585-1616), cousin de l’homonyme évêque de Macon (v. note [1], lettre 431).
- Lyon, Claude Rigaud et Claude Obert, 1628, in‑8o de 260 pages ; v. note [6], lettre 329, pour Nicolas Renouard, et la réédition de son Ovide français en 1651.