À Jean-Baptiste de Salins, le 28 mars 1651
Note [10]
« véritablement héros tous deux, et tout bonnement incomparables : deux hommes qui sont pour moi de la plus heureuse mémoire et dont j’honore bien les mânes pour avoir soigneusement et noblement œuvré à dénouer des difficultés, et dissiper les controverses de notre art. »