À Charles Spon, le 21 novembre 1651
Note [5]
Une déchirure avec bavure de l’encre du manuscrit rend ce passage partiellement illisible.
Dans la restauration incomplète qui est tentée ici entre crochets (après celle de Laure Jestaz), le latin – « il doit échapper au client par une porte dérobée » – paraît inspiré d’une citation d’Horace (Épîtres, livre i, lettre 5, vers 30‑31) :
Tu quotus esse velis rescribe, et rebus omissis
[Écris-moi combien nous devons être, et toute affaire mise de côté, passe par une porte dérobée, laissant le client dans l’atrium].
atria seruantem postico falle clientem.
Libeller [« expliquer une demande qu’on fait en justice » (Furetière)] me semble mieux assorti avec « par les bonnes grâces », qu’avec « après les bonnes grâces » (dans Jestaz).