À Charles Spon, le 10 mai 1652
Note [55]
L’année (1652) n’est pas mentionnée.
Les mots entre crochets de cette fin de lettre, écrite verticalement dans la marge de gauche, proposent une restauration partielle du texte, qui a été mutilé par la déchirure du manuscrit précédemment signalée. Laure Jestaz a fait une lettre séparée du long post-scriptum qui suit.