À Charles Spon, le 6 septembre 1652
Note [4]
Dubuisson-Aubenay (Journal des guerres civiles, tome ii, page 265, 1er août 1652) :
« Saintot, {a} maître des cérémonies, meurt assez subitement à Paris, paroisse Saint-André, en sa maison où il s’était fait amener de Saint-Denis, {b} où il était indisposé chez un sien frère, ancien religieux de l’abbaye, lorsque la cour s’en alla delà à Pontoise. »