À Charles Spon, le 25 octobre 1652
Note [32]
Montglat (Mémoires, page 279) :
« Le duc de Beaufort prit aussi l’amnistie à condition qu’il sortirait de Paris, ce qu’il fit ; et en passant par les rues pour aller trouver Monsieur à Limours, il ne reçut aucune acclamation du peuple comme il avait accoutumé, ce qui lui fit voir que la joie de revoir le roi effaçait tout autre attachement, et que Paris se remettait véritablement dans son devoir et dans l’obéissance de son légitime souverain. ».