À Charles Spon, les 21 et 22 novembre 1652
Note [38]
« Ô cruelle mort, pour toute ombre plus odieuse, n’aurait-on au moins dû te permettre cela ! » ; Martial (Épigrammes, livre vii, 21, vers 3‑4) :
Heu Nero crudelis, nullaque invisor umbra,
[Ah cruel Néron, pour nulle ombre…]
Debuit hoc saltem non lisuisse tibi !