À Charles Spon, le 20 février 1654
Note [13]
« Il n’y a nulle foi ni piété chez les hommes qui suivent la cour », Lucain, La Pharsale (livre x, vers 407) :
Nulla fides pietasque viris qui castra secuntur.[Il n’y a nulle foi ni piété chez les hommes qui suivent les armées].
Au début de la proposition, « mais » est à prendre pour « quant à ».