À Charles Spon, le 7 juillet 1654

Note [11]

« Au Palais on appointe les parties en droit à écrire et produire, donner contredits et salvations, pour dire mettre les demandes et défenses sur le papier, quand on n’a pu juger l’affaire sur le plaidoyer des avocats. Cet avocat ne plaide plus, il ne fait qu’écrire et consulter » (Furetière).


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 7 juillet 1654, note 11.

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(Consulté le 07/05/2024)

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