« comme étant un animal ridicule, excessivement menteur, tuant impunément les hommes sous prétexte de pratiquer une médecine plus pure. Vôtre de tout cœur, G. Patin. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 4 août 1654, note 20.