À Charles Spon, le 27 octobre 1654
Note [10]
« dont l’un [le foie] envoie et les autres [les intestins] reçoivent ; c’est pourquoi il arrive souvent que cette maladie se termine soit par un affaiblissement [atonie] du foie, soit par une gangrène des intestins. »
À l’aune d’aujourd’hui, les raisonnements médicaux de Guy Patin, comme ceux de ses contemporains, frappent par la curieuse opacité de leurs enchaînements logiques.