« à cause de la sensibilité de cette partie. Souvent même les intestins sont affectés, d’où la diarrhée ou la dysenterie à laquelle succède une gangrène mortelle. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 18 décembre 1654, note 11.