À Charles Spon, le 13 janvier 1655

Note [4]

Guy Patin confondait ici pirateries et courses : muni de lettres de représailles (ou de marque, v. note [36], lettre 384), le corsaire attaquait les navires ennemis pour le compte de son gouvernement, tandis que le pirate écumait les mers pour son propre compte, au risque, s’il était pris, de finir roué ou pendu.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 13 janvier 1655, note 4.

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(Consulté le 12/05/2024)

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