« afin qu’il y puise un air plus pur et plus clarifié pour la fortification des parties thoraciques, et pour le bon mélange de la chaleur interne des viscères. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 2 mars 1655, note 6.