À Charles Spon, le 26 mars 1655
Note [3]
« ainsi Némésis poursuit-elle les impies » (sans source latine identifiée).
« ainsi Némésis poursuit-elle les impies. »
Némésis est la déesse grecque de la vengeance et du châtiment céleste. C’est une allusion à l’avant-dernière strophe du Sonnet d’Orthodoxe à Aléthophane (qui fait partie des pièces ajoutées à l’Alethophanes, v. note [15], lettre 391), où (dans une syntaxe latine approximative) Guénault est menacé de subir les méfaits de son antimoine :
Sævit Autores, Nemesis sic vindice, virus.[Le poison, comme par vengeance de Némésis, fait rage contre ses inventeurs].