À Charles Spon, le 17 août 1655
Note [13]
« dont le long drapé couvre leurs pieds qui divaguent » ; Ovide (Tristes, livre ii, élégie 1, vers 247‑248) :
este procul, vittæ tenues, insigne pudoris,
[Arrière rubans, {a} marques de la pudeur, et toi, long drapé qui couvres jusqu’à mi-pied !]. {b}
quæque tegis medios instita longa pedes !
- Les vittæ étaient les rubans que les Romaines appartenant à la classe libre employaient pour nouer leurs cheveux.
- Reprise par Ovide de ses propres vers 31‑32, livre i, de L’Art d’aimer.