« presque vermiculaire » ; le pouls vermiculaire était « celui qui, avec le caractère de pouls ondulant, est petit et faible » (Littré DLF).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 26 octobre 1655, note 19.