À Hugues II de Salins, le 25 novembre 1655
Note [1]
« et comme mon répertoire en fait foi ».
Ainsi qu’en attestent le ms BIU Santé no 2007 (où j’ai puisé la plus grande partie de ses lettres latines), Guy Patin tenait sur un cahier un scrupuleux index de ses correspondances, avec parfois même les copies de ses lettres. Cela explique la précision des références qu’il faisait sans cesse à la date, à la longueur, au porteur et souvent au contenu de ses précédents missives, même parfois anciennes de plusieurs années.