À Hugues II de Salins, le 12 juin 1656
Note [8]
« dans l’ascite, quand se cache une effervescence extrême avec une soif presque inextinguible ; mais comme en quelque façon il s’accorde au symptôme, il augmente toujours la cause de la maladie. En eux-mêmes, les symptômes ne réclament aucun traitement, sinon peut-être que les causes des maladies résultent de leur violence : comme il en va du mal de tête dans la fièvre synoque putride {a} qui, par la grande quantité de matières qui sont attirées vers le cerveau, provoque le délire frénétique. Il n’existe aucune intempérie qui soit entièrement immatérielle ; et si on en reconnaît une pour telle, elle ne l’est pourtant que relativement. »