À Charles Spon, le 17 octobre 1656
Note [7]
« il a souffert d’une sorte de flux mésentérique et hémorroïdaire ; maintenant, alors qu’il n’est pas encore trop bien remis de cette précédente maladie, il souffre d’un certain dégoût des boissons et se détourne presque avec horreur des bouillons ; d’où vient qu’on craint pour lui une incurable sécheresse des viscères. »