À Hugues II de Salins, le 1er février 1657
Note [18]
« Dans la fièvre quarte, qui provient presque toujours d’une humeur bilieuse en train de se putréfier et de donner de l’ardeur à la bile noire, on a besoin de lavements, d’émollients, de rafraîchissants, de détergents, de la saignée qu’il convient de répéter très souvent, à cause de l’intempérie existante, et pour éviter le squirre et l’hydropisie ; une alimentation frugale, nulle purgation au début de la maladie, qui en effet d’habitude envenime la situation ; pas non plus après le début, surtout jamais tant que ne sont pas apparus les signes de la coction. »