À Charles Spon, le 13 mars 1657
Note [32]
« et si l’affaire est retenue par les chicanes d’un long procès, je ne m’en figure ni la durée ni la fin. » Au sujet du grave différend entre Jean ii Riolan et son fils Henri, l’avocat, voir le passage en date du 21 avril dans la lettre à Charles Spon du 25 avril 1653.