À Charles Spon, le 13 mars 1657
Note [44]
« vit encore, mais il traîne une vie misérable, il gémit à côté de sa mangeoire, attendant sans bouger que la maladie l’emporte » ; Ovide (Métamorphoses, livre vii, vers 544), sur l’agonie d’un cheval atteint de la « peste d’Égine » :
ad præsepe gemit, leto moriturus inerti.[il gémit à côté de sa mangeoire, attendant sans bouger que la mort l’emporte].