Le compliment visait Marie Seignoret-Spon, l’épouse de Charles, qui venait de visiter Guy Patin en passant à Paris et lui avait fait très vive impression.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 16 octobre 1657, note 2.