À Charles Spon, le 6 novembre 1657
Note [32]
Les corps des chirurgiens de Saint-Côme et des barbiers chirurgiens voulaient s’unir contre la volonté de la Faculté de médecine (v. note [20], lettre 487), mais venaient lui demander une trêve. Dans les Comment. F.M.P. (tome xiv, fo 332), le doyen a brièvement consigné l’événement que Guy Patin relatait ici. Le député des chirurgiens était Jean Ménard (v. note [12], lettre 782), adjoint du premier chirurgien et barbier du roi.