« à tel point que ses amis et ses proches craignent pour sa vie, en raison de la peine que lui vaut l’état très pitoyable, ou du moins fort peu favorable, de nos affaires. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 29 mars 1658, note 2.