À Charles Spon, le 26 juillet 1658

Note [5]

« Ce fut une fièvre synoque putride [v. note [3], lettre latine 104], qu’il fallait seulement combattre par la saignée, la diète rafraîchissante et les purgatifs doux, sans nul besoin de vin émétique ».

Cette qualification de la fièvre du roi et la précédente allusion (lettre du 16 juillet, v. sa note [18]) aux bubons et charbons du marquis de Richelieu suggèrent que Guy Patin craignait que Louis xiv ne fût victime de la peste.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 26 juillet 1658, note 5.

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(Consulté le 26/04/2024)

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