On dit que quelqu’un « joue les deux quand il a intelligence avec les deux parties contraires, et qu’il trompe l’une et l’autre » (Furetière) : c’est aujourd’hui « faire double jeu ».
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 13 août 1658, note 9.