À Hugues II de Salins, le 29 octobre 1658
Note [18]
Ce nom de « chrysanthème jaune » vient de Basile Besler (pharmacien et botaniste allemand, 1561-1629) :
Hortus Eystettensis, sive diligens et accurata omnium plantarum, florum, stirpium, ex variis orbis terræ partibus, singulari studio collectarum, quæ in celeberrimis viridariis arcem episcopalem ibidem cingentibus, hoc tempore conspiciuntur delineatio et ad vivum repræsentatio. Opera Basilii Besleri Philiatri et Pharmacopœi[Le jardin d’Eichstätt, {a} ou dessin exact et précis, et représentation selon nature de toutes les plantes, fleurs, racines, venant des diverses parties du monde terrestre, recueillies pour une étude particulière, qu’on peut voir aujourd’hui dans les parcs très célèbres qui entourent l’archevêché du même endroit. Par Basilius Beslerus, philiatre {b} et pharmacien]. {c}
- En Bavière.
- Au sens d’adepte de l’art de remédier (et non d’étudiant en médecine).
- Nuremberg, sans nom, 1613, atlas botanique rangé par saisons, en deux volumes in‑fo somptueusement illustrés :
- volume 1 (printemps, automne et hiver), avec le portrait de l’auteur ;
- volume 2 (été), avec le Chrysantheum Creticum luteum [Chrysanthème crétois jaune] (dessin ii, section 5, planche 6).