À André Falconet, le 10 décembre 1658
Note [9]
« je sauvegarderai mon âme avec persévérance, jusqu’à ce que l’iniquité se dissipe et que vienne le changement ; la postérité qui n’est pas ingrate paiera à chacun la gloire qui lui est due. » Le début s’inspire de deux passages de la Bible (Luc, v. note [3], lettre 185, et Psaumes, v. note [33], lettre 487), et la fin de Tacite (v. note [23], lettre 240) : suum cuique decus posteritas rependit.